Après le décès de Kamilia Marrakchi, samedi 25 janvier, au Centre hospitalier universitaire de Fès, les avocats pointent du doigt le ministère de la Santé et la Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion. L’état de santé très fragile de la jeune femme n’a pas été pris au sérieux.