Abdulrahman, le concierge de l’hôtel présent au côté de Kim Kardashian témoigne

Abdulrahman est le concierge de l’Hôtel de Pourtalès, il était présent au côté de Kim Kardashian lors de son agression. Il livre le récit de cette traumatisante nuit au Daily Mail. Il détaille ses échanges avec Kim Kardashian lors de l’agression. «Je les ai conduits à son appartement, j’étais dans la chambre avec Kim Karda­shian. L’un d’eux l’a attaquée, l’autre était avec moi. Ils l’ont tirée hors du lit, je les ai suppliés de ne pas lui faire du mal. Ils m’ont dit de ne pas m’inquiéter et qu’ils étaient là pour l’argent» explique le concierge.  Il décrit l’attitude de Kim Kardashian, elle était paniquée et elle criée. «Un des membres du gang lui répé­tait de se taire mais elle ne comprenait pas, elle était terrorisée et hurlait en pleu­rant tandis que les hommes lui hurlaient dessus », a ajouté Abdul­rah­man. C’est alors que le concierge décide de rassurer la starlette sur leur sort. Il décide de jouer les interprètes entre les ravisseurs et Kim Kardashian. «Je lui ai mis la main sur l’épaule et lui ai demandé de se calmer, qu’il fallait qu’elle reste silen­cieuse. Elle m’a demandé si on allait mourir, j’ai répondu que je n’en savais rien. Elle m’a dit qu’elle avait une famille et des bébés, je lui ai dit que moi aussi j’avais un fils. Elle s’est remise à hurler, c’est pour ça qu’ils lui ont mis un long morceau de scotch sur la bouche » poursuit la victime.

Sauvés par l’appel du garde du corps

 «Son téléphone s’est mis à sonner, j’ai vu le nom de son garde du corps sur l’écran, je leur ai dit qui c’était et que s’ils ne lui répon­daient pas, Duvier débarque­rait ici avec la police, a raconté le concierge. Ils ont déguerpi immé­dia­te­ment. Ils ont pris le télé­phone de Kim en lais­sant la batte­rie et m’ont fait descendre dans le hall d’entrée où les atten­daient deux hommes à vélo.» Malgré ce moment traumatisant, Abdulrahman remercie les ravisseurs. «Je n’ai pas eu l’impres­sion qu’ils étaient mauvais dans le fond, ce n’étaient pas des assas­sins. J’ai envie de les remer­cier de ne pas nous avoir fait du mal à Kim et à moi. »